L'écrivain Ena Fitzbel vit à Toulouse. Ingénieur dans un centre de recherche, elle a été correctrice pour d’autres auteurs avant de signer son premier roman Un manoir pour refuge (2014).
Disponible chez Amazon, Fnac, Chapitre et Gibert Joseph
~ 15€ en format papier et 3,99 € en eBook ~
Dans un manoir écossais, habite une famille comme tant d'autres. Une
mère, deux frères et une sœur, des domestiques... Et Mila aime s'y réfugier.
Mais un jour, tout bascule. Elle dévoile son secret, et plus rien n'est comme
avant. Prenez garde que vos rêves ne deviennent réalité ! Vous pourriez être
déçus.
Lire la chronique de Rosalie : ici
Lire la chronique de Rosalie : ici
Pour notre plus grand plaisir, Ena Fitzbel a répondu aux questions de notre Reine Rosalie.
Rosalie : A la lecture de la fin de ton roman, je
me posais la question, à savoir, va-t-il y avoir une suite?
Ena Fitzbel : En fait, Un manoir pour refuge est un livre qui n’attend pas de suite. Par contre, sur les conseils de beaucoup de chroniqueurs, j’ai ajouté aux nouvelles impressions papier (dès le début avril) et sur les Ebook, un dernier chapitre qui met en scène Mila et son petit ami (Qui est le petit ami ? Ah, je ne peux pas le dire sans risquer de « spoiler » la fin à ceux qui ne connaissent pas encore l’histoire.)
D'où t'es venue l'idée d'écrire pour les jeunes?
Un
manoir pour refuge est un rêve éveillé que je fais depuis
longtemps. J’avais bâti un manoir dans ma tête ; j’en
connaissais tous les recoins. Je me réservais des instants dans la
journée pour m’y réfugier en pensée. J'étais Mila, une jeune
étudiante qui arpentait ses couloirs et je retrouvais tous les
personnages qui l’habitaient. L'auteure a vieilli, mais pas Mila.
Cet univers onirique ne pouvait donc pas s'adresser à des adultes.
Pourquoi avoir situé ton roman à Prague?
Cette ville a-t-elle une importance spéciale pour toi ?
L'action
se passe à Prague, parce que je connais bien cette ville et que je
l'adore. J'avais aussi besoin de la présence d'un lycée français
pour y faire vivre mes personnages.
As-tu toujours voulu écrire ?
Qu'est-ce qui t'a donné envie d'écrire ?
J’écris
des poésies depuis mon adolescence. Saint John Perse m’a beaucoup
influencée. Mais très vite, je me suis sentie prisonnière d’un
format trop étroit pour abriter mes histoires. Je dois vous dire que
j’adore m’inventer des histoires ! Elles m’aident à échapper
au monde réel.
Quels sont tes projets dans l'avenir
concernant l'écriture ?
Je viens d'achever l'écriture d'un roman sentimental pour adultes, Des packs d’eau pour l’Afrique (à paraitre), où une jeune fille charmante mais un peu trop idéaliste
est contrainte de faire un trajet en voiture avec le directeur
adjoint de l’entreprise où elle travaille. Ce dernier, beau, jeune
et arriviste, a répondu à une annonce de covoiturage que les
collègues de la jeune femme ont déposée pour lui faire une
mauvaise farce. Il s’attend à voyager à bord d’une Land Rover ;
la jeune femme conduit une vieille 405 qui tracte une caravane pleine
de packs d’eau destinés aux Africains. La suite, vous l’imaginez,
risque d’être rocambolesque.
D'autre part, je suis actuellement plongée dans l'écriture d'un roman de Fantasy pour adultes, dont je tais le titre pour ne pas trop en révéler (le titre est assez explicite).
Beaucoup de projets donc, et de mystères aussi. Merci encore Ena pour nous avoir accordé cette interview.
D'autre part, je suis actuellement plongée dans l'écriture d'un roman de Fantasy pour adultes, dont je tais le titre pour ne pas trop en révéler (le titre est assez explicite).
Beaucoup de projets donc, et de mystères aussi. Merci encore Ena pour nous avoir accordé cette interview.
Portrait Chinois
Si tu étais un poème, tu serais...Amers de Saint-John Perse
Si tu étais un film, tu serais...Inception
Si tu étais un personnage (réel ou fictif) tu serais...Valérian (Bd - Valérian, agent spatio-temporel de Pierre Christin, Jean-Claude Mézières et Évelyne Tranlé)
Si tu étais un pays, tu serais...Ile de Mahé aux Seychelles
Si tu étais un dicton, tu serais...Il n’y a pas d’échec, il n’y a que des abandons"
Citation d'Albert
Einsten.
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